L'attaque du pont de Benouville se situe dans le vaste plan de débarquement confié en partie à la 6ème Airborne. Leur mission était de s'emparer et tenir au matin du 06 Juin et avant le débarquement des unités arrivant par mer, des ponts du canal de Caen et de l'Orne, plus connu sous le nom de Benouville et Ranville et ceux intacts !
Cette axe devait servir à constituer le flanc gauche ou pivoteront dans la journée les troupes fraîchement débarquées des plages et assurer par la suite un ravitaillement durant la progression des unités vers les terres.
Si le pont venait à être détruit, cela nuiraient fortement au potentiel de déplacement rapide des troupes en direction de Caen.
De plus, l'objectif secondaire a été également de détruire afin d'empêcher toute contre offensive et renfort allemand, les cinq ponts de la vallée de la Dives.
Préparation de l'opération
La bonne préparation de l'opération a été possible grâce entre autre, au travail de la Royal Air Force fournissant des photos aériennes, ainsi que les nombreuses informations émanant de la résistance Française. Le travail des ces hommes et femmes ont pu fournir la nature et le positions exactes des défenses allemandes, ainsi que le nombre et leur localisation.
Pendant ce temps, les hommes s'entraînent en améliorant leurs capacités physiques à travers de rudes entraînement. La moyenne d'âge est de 30 ans et la plupart n'ont pas connu le feu auparavant. Ces hommes étudient cartes, plans, doivent s'avoir répondre à des questions d'orientations sur la localisation géographique du pont de Bénouville, connaître le nombre de maisons autour du pont, la dénivellation du terrain, les marécages, bref, chacun apprend avec minutie ce qui sera son rôle dans cette opération. Au matin du 06 Juin, les hommes sont prêts à l'action.
L'offensive
La mission est claire : s'emparer du pont de Benouville intact, mission de la plus haute importance pour la suite des opérations. La rapidité d'exécution, l'effet de surprise, ainsi que la neutralisation des défenses allemandes devront être des facteurs décisifs étant donné que des charges explosives ont dû au préalablement être préparées visant la destruction de l'édifice.
Le transport des troupes se fera par planeur Horsa, réquisitionné pour leur discrétion pour une approche en douceur vers l'objectif, remorqué par des bombardiers Halifax de la RAF. Les appareils décollent d'Angleterre au alentour de 23H le 05 Juin. Juste un peu avant Cabourg, les planeurs sont décrochés, plongeant rapidement vers leur objectif.
En moins de 30 mn, le major Howard et ses hommes ont raison à l'aide de grenades et rafales de Sten, de la défense allemande. Les unités nettoient les tranchées le long des berges et neutralisent le canon de 20 mm. Les sapeurs après que le deuxième peloton ai nettoyé le pont, cherchent les explosifs et retirent tous les cordons de mise à feu.
L'objectif est atteint mais reste maintenant à tenir ! Le 7ème Bataillon doit rejoindre au plus vite les commandos du major Howard ainsi que les commandos débarqués de Ouistreham. Mais rapidement, la contre attaque à lieu et un blindé allemand surgit aux abords du pont, mise hors état de nuire par un PIAT anglais. Peu après, les commandos de la 1st Special Service Brigade arriveront à Bénouville et traverseront le pont, conduit par Lord Lovat.
Le premier à passer sur ce pont fût Bill Martin, jouant "Blue Bonnets Over the Border". Une inscription commémorative garde le souvenir de cet instant :
" Il était exactement 12 heures 2 minutes et 30 secondes lorsqu'au pont Pégase, les commandos de Lord Lovat, où servait le commandant français Philippe Kiefer, firent leur jonction avec les parachutistes du major Howard : c'est à dire exactement 2 mn et 30 secondes de retard sur l'horaire prévu."
La prise du pont aura coûté deux tués et quatorze blessés.
Si le pont venait à être détruit, cela nuiraient fortement au potentiel de déplacement rapide des troupes en direction de Caen.
De plus, l'objectif secondaire a été également de détruire afin d'empêcher toute contre offensive et renfort allemand, les cinq ponts de la vallée de la Dives.
Préparation de l'opération
La bonne préparation de l'opération a été possible grâce entre autre, au travail de la Royal Air Force fournissant des photos aériennes, ainsi que les nombreuses informations émanant de la résistance Française. Le travail des ces hommes et femmes ont pu fournir la nature et le positions exactes des défenses allemandes, ainsi que le nombre et leur localisation.
Pendant ce temps, les hommes s'entraînent en améliorant leurs capacités physiques à travers de rudes entraînement. La moyenne d'âge est de 30 ans et la plupart n'ont pas connu le feu auparavant. Ces hommes étudient cartes, plans, doivent s'avoir répondre à des questions d'orientations sur la localisation géographique du pont de Bénouville, connaître le nombre de maisons autour du pont, la dénivellation du terrain, les marécages, bref, chacun apprend avec minutie ce qui sera son rôle dans cette opération. Au matin du 06 Juin, les hommes sont prêts à l'action.
L'offensive
La mission est claire : s'emparer du pont de Benouville intact, mission de la plus haute importance pour la suite des opérations. La rapidité d'exécution, l'effet de surprise, ainsi que la neutralisation des défenses allemandes devront être des facteurs décisifs étant donné que des charges explosives ont dû au préalablement être préparées visant la destruction de l'édifice.
(Cliquez sur l'image pour une vue complète)
Le transport des troupes se fera par planeur Horsa, réquisitionné pour leur discrétion pour une approche en douceur vers l'objectif, remorqué par des bombardiers Halifax de la RAF. Les appareils décollent d'Angleterre au alentour de 23H le 05 Juin. Juste un peu avant Cabourg, les planeurs sont décrochés, plongeant rapidement vers leur objectif.
(Décollage d'un planeur Horsa remorqué par un Albemarle)
En moins de 30 mn, le major Howard et ses hommes ont raison à l'aide de grenades et rafales de Sten, de la défense allemande. Les unités nettoient les tranchées le long des berges et neutralisent le canon de 20 mm. Les sapeurs après que le deuxième peloton ai nettoyé le pont, cherchent les explosifs et retirent tous les cordons de mise à feu.
L'objectif est atteint mais reste maintenant à tenir ! Le 7ème Bataillon doit rejoindre au plus vite les commandos du major Howard ainsi que les commandos débarqués de Ouistreham. Mais rapidement, la contre attaque à lieu et un blindé allemand surgit aux abords du pont, mise hors état de nuire par un PIAT anglais. Peu après, les commandos de la 1st Special Service Brigade arriveront à Bénouville et traverseront le pont, conduit par Lord Lovat.
Le premier à passer sur ce pont fût Bill Martin, jouant "Blue Bonnets Over the Border". Une inscription commémorative garde le souvenir de cet instant :
" Il était exactement 12 heures 2 minutes et 30 secondes lorsqu'au pont Pégase, les commandos de Lord Lovat, où servait le commandant français Philippe Kiefer, firent leur jonction avec les parachutistes du major Howard : c'est à dire exactement 2 mn et 30 secondes de retard sur l'horaire prévu."
La prise du pont aura coûté deux tués et quatorze blessés.
Pegasus Bridge
RépondreSupprimerI--Une Histoire vraie et inédite .
http://www.editions-pantheon.fr/francoise-h.-gondree/essais/pegasus-bridge-le-pont-de-l-espoir.html
2--Un Musée volé - Un scandale à dénoncer
A --26 avril 1969, lettre du major John Howard.
« Ma Chère Françoise, ….. votre père..était mon meilleur et très cher ami.
Je n’ai jamais manqué de plaisir en sa compagnie et je peux vous l’ assurer…
J’ai toujours été heureux avec Cher Georges……J’ai eu l’impression que toute
l’organisation reposait sur vos jeunes épaules..et vous avez merveilleusement bien réussi….
Vous avez montré les capacités de votre cher père……Very sincerely. Uncle John ».
B-- Du 15 Mars 1978 il écrit au sujet de ses souvenirs :
‘’je ne voulais pas qu’Arromanches ait la main sur aucun de mes souvenirs,
les envoyant à Bénouville était la façon de les donner à Fran en soutien dont elle
Mérite’’
Des centaines de correspondances…………
https://www.pegasusbridge.fr/collection-musee-pegasus-bridge/
https://www.pegasusbridge.fr/70anniversaire-du-debarquement-le-denomme-comite-darromanches/
3- - Pegasus Bridge, l’usurpation Tome I
http://www.editions-pantheon.fr/a-paraitre/memoires-et-temoignages/pegasus-bridge-l-usurpation-tome-i.html
Voilà pour un article
Sommes à votre disposition
Musée de Pegasus Bridge & Batterie de Merville
BP 5
14860 Ranville
www.pegasusbridge.fr
J'AI PERSONNELLEMENT BIEN CONNUE MADAME GONDREE ET ARLETTE A TOUJOURS ETE UNE MAGNIFIQUE AMIE POUR MA DEFUNTE EPOUSE ET MOI MÊME, JE SAIS AUSSI QUELLE JALOUSIE CETTE FAMILLE A DU SUBIR DE LA PART DE GENS DE PEU D'HONNEUR QUI SE SONT APPROPRIES LA MEMOIRE DE CETTE FAMILLE ET QUI PARCE QU'ILS AVAIENT LES APPUIS ET LES MOYENS SE SONT IMPOSES LA OU ILS N' AVAIENT RIEN A Y FAIRE ! LE MAJOR HOWARD A DIT ET REDIT CE QU'IL SAVAIT ET CE QU'IL PENSAIT DES GONDREE, C'EST AUSSI FAIRE INSULTE A SA MEMOIRE QUE DE CONTREDIRE SES PROPOS !
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